Beaux maux, par Forest

Zénoïse entend le bruit sourd de la mort. Visiblement, on l’informe de l’impertinence d’une vie de vanités. La seigneurie de l’émotion visite le semi-mutisme des regards. Dans un tour de toile, trois sacs de pois retiennent la dame au sentiment sucre d’érable. Outre la demoiselle, l’attentive gêne des rendez-vous de l’humain. Le lugubre passé appuie le poêle à bois du beau village. Cher Laurent à l’étrange soin, vis-à-vis de la lettre du 24 mars. Sont pardonnables les plus grands détails. Le pouce enchanté dérobe le triste historique. Lorimier demeure à nouveau dans les années du chevalier. La chaîne intime de la vie sensitive erre la nuit dans la rivière. Des époux dénudent la foule. N’est-ce pas le jour qui nécessite les provisions d’amertume? 

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