C’était pendant l’été
Lorsque ma mère
Est partie voir le tout-puissant
Les bruits assourdissants
Sont soudainement silencieux
Dans un calme effrayant
Rien n’a été comme avant
Des ombres de sa présence
Commence doucement à se faire ressentir
Dans les endroits avec nos souvenirs
Tranquillement la noirceur m’incite
À revoir ma seule confidente
Au fin fond des abysses
Et ainsi mettre fin à mes souffrances.
